https://www.bangspankxxx.com PornThéâtre de la Rumeur
http://www.theatredelarumeur.fr/
Troupe de théâtre amateur née en 1973 montant des spectacles du répertoire contemporain et classique. Nous accueillons toute personne, débutante ou non, souhaitant s'inscrire dans le travail collectif de la représentation théâtrale en amateur, quelque soit le domaine de son choix (jeu, mise en scène, costumes, conception lumière, son, scénographie, affiches, site ...) et quelque soit son degré de compétence en ces domainesfrSPIP - www.spip.net (Sarka-SPIP)2011-2015
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http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article222015-09-22T13:00:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>En 2011, parmi les pièces que nous avons lues, nous choisirons "Maria et les autres, femmes d'en France", une pièce écrite par Gérard Levoyer, dont nous avions déjà joué une pièce : "Mendiants d'amour", et dont nous avions un très bon souvenir. "Maria et les autres ..." nous a, à la fois, vivement intéressés à la lecture et inquiétés en pensant aux écueils de sa réalisation. En effet, la pièce comporte un grand nombre "d'informations", de faits ou de paroles et citations historiques (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><div class='spip_document_169 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right spip_document_avec_legende' data-legende-len="40" data-legende-lenx="x"
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<figure class="spip_doc_inner"> <a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/jpg/echauffement_jef.jpg' class="spip_doc_lien mediabox" type="image/jpeg"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH336/echauffement_jef-33232.jpg?1689813121' width='500' height='336' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>échauffement proposé par Jean-François
</strong></div> </figcaption></figure>
</div>
<p>En 2011, parmi les pièces que nous avons lues, nous choisirons "<strong>Maria et les autres, femmes d'en France</strong>", une pièce écrite par Gérard Levoyer, dont nous avions déjà joué une pièce : "Mendiants d'amour", et dont nous avions un très bon souvenir.<br class='autobr' />
"Maria et les autres ..." nous a, à la fois, vivement intéressés à la lecture et inquiétés en pensant aux écueils de sa réalisation. En effet, la pièce comporte un grand nombre "d'informations", de faits ou de paroles et citations historiques concernant l'histoire de l'émancipation féminine en France. Le risque en montant cette pièce était bien sûr de se montrer lourdement didactique.</p>
<div class='spip_document_168 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left spip_document_avec_legende' data-legende-len="30" data-legende-lenx=""
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<figure class="spip_doc_inner"> <a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/jpg/a_la_regie.jpg' class="spip_doc_lien mediabox" type="image/jpeg"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH667/a_la_regie-59d64.jpg?1689813121' width='500' height='667' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>à la régie à Sierre (Suisse)
</strong></div> </figcaption></figure>
</div>
<p>Alors pourquoi la choisir ? Parce qu'en la lisant, nous avons appris beaucoup de choses, précises, alors même que nous pensions en connaître déjà un certain nombre sur l'histoire de l'émancipation féminine en France. Nous avons donc pris conscience des lacunes et des limites de nos connaissances. Sur quoi nous appuyons-nous pour penser ce que nous pensons ? C'est cette question qui nous a donné envie de monter « Maria et les autres » ; cette question aussi que nous avons voulu poser aux spectateurs, avec l'espoir aussi de leur donner (comme à nous), après la représentation, l'envie d'aller explorer par eux-mêmes l'Histoire, d'aller chercher eux-mêmes des infos supplémentaires sur Condorcet, Olympe de Gouge, Adrienne Lecouvreur, Louise Michel, Napoléon et son Code Civil, Thiers etc., d'aller chercher l'info comme le font les deux personnages principaux de cette pièce.</p>
<div class='spip_document_166 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right spip_document_avec_legende' data-legende-len="36" data-legende-lenx="x"
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<figure class="spip_doc_inner"> <a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/jpg/paves_fabrique_montage.jpg' class="spip_doc_lien mediabox" type="image/jpeg"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH336/paves_fabrique_montage-d2682.jpg?1689813121' width='500' height='336' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Fabrication et habillage des pavés
</strong></div> </figcaption></figure>
</div><div class='spip_document_167 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right spip_document_avec_legende' data-legende-len="41" data-legende-lenx="x"
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<figure class="spip_doc_inner"> <a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/jpg/pre_montage_polichinelle.jpg' class="spip_doc_lien mediabox" type="image/jpeg"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH353/pre_montage_polichinelle-0508e.jpg?1689813121' width='500' height='353' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Le pré-montage du rideau à polichinelle
</strong></div> </figcaption></figure>
</div>
<p>L'Histoire est une construction certes, mais elle est aussi une succession de faits réels qui se sont produits, de paroles qui se sont réellement prononcées. Détricoter ses propres stéréotypes en allant chercher soi-même l'info et questionner ses "propres" pensées.<br class='autobr' />
Gros travail de troupe, et d'acteurs ! Cinq nouveaux acteurs et actrices nous rejoignent pour monter cette pièce, de même que deux nouveaux éclairagistes et un régisseur son ! Grosse équipe donc, nous voilà à 16 ! Les décors (dont un nombre incalculable de pavés !) et les costumes ont été réalisés par toute la troupe au cours de chantier de week-end. La lumière a pu être créée au <a href="http://adec56.org/spip/spip.php?article783" class="spip_out" rel="external">Théâtre de la Rochette</a> de l'<a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">ADEC 56</a> au cours d'un week-end. La musique des chansons est composée par Marc Biderbost et nous faisons appel à Catherine Aubert de l'association "<a href="http://philomele.jimdo.com/" class="spip_out" rel="external">Philomèle</a>" pour nous aider à les chanter. Chaque représentation a été l'occasion de retravailler cette pièce qui d'une durée de 1h50 au départ sera réduite à 1h30 aux trois dernières.<br class='autobr' />
Nous avons eu le plaisir de recevoir l'auteur, <a href="http://gerard-levoyer.fr/maria.html" class="spip_out" rel="external">Gérard Levoyer</a> et les éditeurs Joëlle et Armel Mandart (<a href="http://lesmandarines.free.fr/" class="spip_out" rel="external">éditions les mandarines</a>), à la Deuxième (celle de tous les dangers !) à la Chapelle Bleue de Ploërmel. La Troisième a eu lieu au Festival de l'ADEC 56 à Josselin. Puis nous jouerons à Guer, à Pontivy, à Malansac et pour les deux Dernières, nous avons joué en Suisse, à Sierre dans le Valais après 14 heures de car ! La pièce a été très chaleureusement accueillie par le public sierrois, dans la salle de la Sacoche où l'<a href="http://www.aslec.ch/" class="spip_out" rel="external">ASLEC</a>(Association Sierroise de Loisirs et Culture) nous recevait : c'est pour le moment l'endroit de représentation le plus éloigné de notre base de Ploërmel : le précédent record était Bourg-Saint-Andéol en Ardèche.</p>
<p>Pour voir un livret PDF des photos du spectacle, cliquez sur :</p>
<div class='spip_document_165 spip_document spip_documents spip_document_file spip_documents_left spip_document_left spip_document_avec_legende' data-legende-len="15" data-legende-lenx=""
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<figure class="spip_doc_inner">
<a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/pdf/livret_photo_maria_et_les_autres_la_chapelle_bleue_ploermel_8_et_9_mars_2013-2.pdf' class=" spip_doc_lien" title='PDF - 4.7 Mio' type="application/pdf"><img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L64xH64/pdf-b8aed.svg?1689813121' width='64' height='64' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Livret Photos
</strong></div> </figcaption></figure>
</div>
<div class='spip_document_171 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right spip_document_avec_legende' data-legende-len="42" data-legende-lenx="x"
>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L450xH342/mariaetlesautres10-2-eba32.jpg?1689813121' width='450' height='342' alt='' />
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Marc, le musicien compositeur interprète
</strong></div> </figcaption></figure>
</div>
<div class='spip_document_170 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right spip_document_avec_legende' data-legende-len="52" data-legende-lenx="x"
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<figure class="spip_doc_inner"> <a href='http://theatredelarumeur.fr/IMG/jpg/justavantdjouer.jpg' class="spip_doc_lien mediabox" type="image/jpeg"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH375/justavantdjouer-d321a.jpg?1689813121' width='500' height='375' alt='' /></a>
<figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Juste avant de jouer la dernière à Sierre (Suisse)
</strong></div> </figcaption></figure>
</div></div>
Répertoire
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article37
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article372015-07-20T18:39:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>1972 "Les jours heureux" de Claude André Puget Mise en scène : Christiane Emeraud <br class='autobr' />
1973 "Édouard et Agrippine" de René d'Obaldia Mise en scène : Jean-Luc Emeraud <br class='autobr' />
1973 "Le Défunt" de René d'Obaldia Mise en scène : Jean-Luc Emeraud <br class='autobr' />
1974 "La barque sans pêcheur" d' Alejandro Casona Mise en scène : Jean-Luc Emeraud <br class='autobr' />
1975 "Cet homme sort de prison" de Pierre Dumaine & Marcel Dubois Mise en scène : Jean-Luc Emeraud <br class='autobr' />
1976 "Je veux voir Mioussov" de Valentin Petrovich Kataïev Mise en (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><p><strong>1972</strong><br class='autobr' />
"Les jours heureux"<br class='autobr' />
de Claude André Puget<br class='autobr' />
Mise en scène : Christiane Emeraud</p>
<p><strong>1973</strong><br class='autobr' />
"Édouard et Agrippine"<br class='autobr' />
de René d'Obaldia<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1973</strong><br class='autobr' />
"Le Défunt"<br class='autobr' />
de René d'Obaldia<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1974</strong><br class='autobr' />
"La barque sans pêcheur"<br class='autobr' />
d' Alejandro Casona<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1975</strong><br class='autobr' />
"Cet homme sort de prison"<br class='autobr' />
de Pierre Dumaine & Marcel Dubois<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1976</strong><br class='autobr' />
"Je veux voir Mioussov"<br class='autobr' />
de Valentin Petrovich Kataïev<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1977</strong><br class='autobr' />
"La cuisine des anges"<br class='autobr' />
d' Albert Husson<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1978</strong><br class='autobr' />
"Les cochons d'Inde"<br class='autobr' />
d' Yves Jamiaque<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1979</strong><br class='autobr' />
"Les deux vierges"<br class='autobr' />
de Jean-Jacques Bricaire<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1979</strong><br class='autobr' />
"Ils se footent de nous"<br class='autobr' />
de Jean-Luc Emeraud<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1980</strong><br class='autobr' />
"La Rumeur"<br class='autobr' />
Création collective en gallo<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1983</strong><br class='autobr' />
"Ne coupez pas mes arbres" <br class='autobr' />
de William-Douglas Home<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1984</strong><br class='autobr' />
Farces du Moyen-âge (Le cuvier, Le charbonnier, Les trois bossus, le Par-ci Par-là)<br class='autobr' />
répertoire historique<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1986</strong><br class='autobr' />
"Diablogues"<br class='autobr' />
de Roland Dubillard<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1986</strong><br class='autobr' />
"Le Défunt" / "Édouard et Agrippine"<br class='autobr' />
de René d'Obaldia<br class='autobr' />
mise en scène collective</p>
<p><strong>1987</strong><br class='autobr' />
"L'horloge"<br class='autobr' />
d' Emmanuel Roblès<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1987</strong><br class='autobr' />
"Postich'valse"<br class='autobr' />
de Flavie Solérieu<br class='autobr' />
Mise en scène : Bernard Gapihan</p>
<p><strong>1989</strong><br class='autobr' />
"La damnation de Méphisto"<br class='autobr' />
de Pierre Gripari<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1990</strong><br class='autobr' />
"Outrage aux bonnes mœurs"<br class='autobr' />
d' Eric Westphal<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1990</strong><br class='autobr' />
"La belle au bois dormant"<br class='autobr' />
de Jean-François Guitton<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-François Guitton</p>
<p><strong>1991 à 1993</strong><br class='autobr' />
Tentatives sur "Le pic du bossu", "le Révizor", "Les vacances"<br class='autobr' />
Slawomir Mrozek, Nikolaï Gogol, Jean-Claude Grumberg<br class='autobr' />
essais inaboutis</p>
<p><strong>1994</strong><br class='autobr' />
"Les p'tits potins"<br class='autobr' />
café-théâtre<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-Luc Emeraud</p>
<p><strong>1995</strong><br class='autobr' />
"Le médecin malgré lui"<br class='autobr' />
de Molière<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-François Guitton</p>
<p><strong>1998</strong><br class='autobr' />
"Antigone"<br class='autobr' />
de Jean Anouilh<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-François Guitton</p>
<p><strong>2000</strong><br class='autobr' />
"Mendiants d'amour"<br class='autobr' />
de Gérard Levoyer<br class='autobr' />
Mise en scène : Bernard Gapihan</p>
<p><strong>2003</strong><br class='autobr' />
"Faim du soir... espoir"<br class='autobr' />
de Bernard Gapihan, Christèle Gadet, Jean-Luc Emeraud, Jean-François Guitton, Anne-Marie Le Brun, Alexine Merveilleux<br class='autobr' />
Mise en scène : Bernard Gapihan</p>
<p><i> <strong>2005-2008</strong> <br class='autobr' />
à noter une activité "annexe" mais immensément prenante d'une partie de la troupe sur le projet « <strong>Parcours "de l'écriture à la scène"</strong> » organisé par l'<strong>ADEC 56</strong> <strong>(Site <a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">ici)</strong></a> </i>. Ce projet de formation (mise en scène, direction d'acteurs, scénographie, lumière) a abouti à un stage au long cours de réalisation qui a permis 4 représentations de "L'Augmentation" de Georges Perec. </i></p>
<p><strong>2006</strong><br class='autobr' />
"La gelée d'arbre"<br class='autobr' />
d' Hervé Blutsch<br class='autobr' />
Mise en scène : Jean-François Guitton</p>
<p><strong>2013 </strong> <br class='autobr' />
"Maria et les autres, femmes d'en France"<br class='autobr' />
de Gérard Levoyer<br class='autobr' />
Mise en scène : Bernard Gapihan</p>
<p><strong>2015 </strong> <br class='autobr' />
"Des cendres et des lampions"<br class='autobr' />
de Noëlle Renaude<br class='autobr' />
Mise en scène : Anne-Marie Lebrun, Jean-François Guitton et Bernard Gapihan</p></div>
2000-2010
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article21
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article212014-01-23T16:00:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>Fin 1999, après « Antigone » de Jean Anouilh, mise en scène par Jean-François Guitton, nous nous attaquons à « Mendiants d'amour » de Gérard Levoyer. La pièce est proposée à la troupe par Jean-Luc Emeraud, infatigable lecteur de la revue l'Avant-scène. Le groupe confie la mise en scène à Bernard Gapihan, qui poursuit ainsi sa carrière d'usurpateur, commencée avec la mise en scène de « Postich'valse », comédie de Flavie Solérieu et se retrouve aussi scotché devant la console Lumière, (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><div class='spip_document_97 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L177xH163/mendiantsdamourportepfadj-c96b4.jpg?1690859283' width='177' height='163' alt='' />
</figure>
</div><div class='spip_document_95 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L247xH165/larumeurmendiantsamour1badj-ca779.jpg?1690859283' width='247' height='165' alt='' />
</figure>
</div><div class='spip_document_79 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L227xH165/mendiantsdamourgroupepf-5797e.jpg?1690859283' width='227' height='165' alt='' />
</figure>
</div>
<p><br/>
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<br/>
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<br/></p>
<div class='spip_document_82 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L170xH129/larumeurmendiantsamour3pf-21107.jpg?1690859283' width='170' height='129' alt='' />
</figure>
</div>
<p>Fin 1999, après « Antigone » de Jean Anouilh, mise en scène par Jean-François Guitton, nous nous attaquons à « <strong>Mendiants d'amour</strong> » de <a href="http://www.gerard-levoyer.fr/index.html" class="spip_out" rel="external">Gérard Levoyer</a>. La pièce est proposée à la troupe par Jean-Luc Emeraud, infatigable lecteur de la revue l'Avant-scène. Le groupe confie la mise en scène à Bernard Gapihan, qui poursuit ainsi sa carrière d'usurpateur, commencée avec la mise en scène de « Postich'valse », comédie de Flavie Solérieu et se retrouve aussi scotché devant la console Lumière, énigmatique jouet aux multiples curseurs...<br class='autobr' />
« <strong>Mendiants d'amour</strong> » est une succession de 19 tableaux qui se présentent sous forme de collages » : autant d'occasions de délirer joyeusement sans mettre en danger la cohérence du patchwork.</p>
<div class='spip_document_80 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L198xH152/larumeurmendiantsamour9pf-f1b1a.jpg?1690859283' width='198' height='152' alt='' />
</figure>
</div>
<p>Nous sommes onze et nous organisons, non, pas un match de football, une distribution des rôles « autogérée » (!) et régulée uniquement par les choix positifs des acteurs : chacun jouera forcément un rôle qu'il a choisi, même si, bien sûr, il a dû renoncer à d'autres rôles en les laissant à d'autres qui les avaient choisis aussi ... Méthode très certainement critiquable mais qui contribue à créer une belle ambiance de groupe ! Nous travaillons donc à fond les petits tableaux comme des petites perles, sans nous soucier d'abord de leur enfilage. Au magasin du surplus de l'Armée, nous trouvons de magnifiques uniformes imperméables, informes et kakis. Et c'est parti mon kiki ! La pièce est jouée au Festival de l'ADEC 56, dans la salle de sports du Roc Saint-André magiquement transformée en grand théâtre par les bénévoles du Festival.</p>
<div class='spip_document_81 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L198xH141/larumeurmendiantsamour8pf-7337b.jpg?1690859283' width='198' height='141' alt='' />
</figure>
</div>
<p>Nous la jouons aussi au Festival de Chartres de Bretagne (35), à celui de Kerhervy (56) en 2001 et au Festival « Grains de grenade » à Bourg-Saint-Andéol en Ardèche (07), après 12 heures de car et une nuit blanche pour la plupart d'entre nous (pas tous ! ) sans compter les représentations du Roc Saint André, de Saint-Avé, de Ploërmel, Concoret, Pontivy...</p>
<p>Au retour du Festival de l'Ardèche, en Juillet 2002, dans l'euphorie de cette aventure, autour d'une table, l'idée germe de renouer, pour la saison suivante, avec l'écriture : Jean-Luc Emeraud avait écrit « ils se footent de nous », Jean-François Guitton « La Belle au Bois dormant », la troupe avait, elle, pratiqué l'écriture collective avec la création de « La Rumeur » en gallo.</p>
<div class='spip_document_99 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L231xH191/larumeuresperanzapf-3d53f.jpg?1690859283' width='231' height='191' alt='' />
</figure>
</div><div class='spip_document_100 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L232xH191/larumeurfaimdusoirvoiturepf-4e922.jpg?1690859283' width='232' height='191' alt='' />
</figure>
</div>
<p>Nous écririons donc le texte de notre prochaine pièce, cette fois encore, et ce texte serait composé des contributions de tous les volontaires à partir d'un thème : la faim. Ce qui fut dit fut fait : nous ne serions pas velléitaires sur ce coup-là non plus !, c'était décidé, c'était en marche : avec l'objectif de passer de l'écriture du texte à sa représentation publique sur un plateau. L'été passe et les premiers écrits arrivent, dès Septembre, un par un, pendant la saison 2002-2003. Nous mettons nos textes à l'épreuve de la lecture à voix haute, à l'épreuve du plateau, nous faisons des essais, des coupures, des ratures, des redécoupages, des réécritures. La mayonnaise semble prendre et quand on sent qu'elle va tourner, on la rattrape. Émerge alors (pas de la mayonnaise) le personnage central d'Esperanza : la pièce sera un voyage, cousu-décousu-recousu, fantasmé, entre les idées, les fantaisies, les espoirs de cette jeune femme en mal d'émancipation, en faim de devenir, et ses liens, ses attaches, ses empêchements, ses appréhensions.<br class='autobr' />
Il faut être fou pour se décider à écrire une pièce ainsi nous-mêmes alors qu'il y a tant de bons auteurs qui ont déjà fait plus que leurs preuves dans l'écriture théâtrale. Nous avions décidé d'être fous, cette saison-là et de revenir aux auteurs ensuite : cela avait du sens pour nous d'écrire ainsi à ce moment-là, alors il nous fallait le faire. Mais la gestation et l'accouchement demandèrent et de l'énergie et du temps : nous dûmes aussi balayer les doutes et les multiples raisons qui ne manquaient pas de vouloir nous arrêter. Le schéma même de la pièce s'invite dans nos doutes, nos espoirs, nos découragements, nos espoirs.</p>
<div class='spip_document_101 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L253xH191/larumeurfaimdusoircoursepf-e6e42.jpg?1690859283' width='253' height='191' alt='' />
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</div><div class='spip_document_102 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
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</figure>
</div>
<p>Nous trouvons le titre : "<strong>Faim du soir ...espoir</strong>". Olivier Le Gal écrit la mélodie introduisant le spectacle. Jean-Sébastien Guitton compose et interprète la chanson "Fringales", écrite par Anne-Marie Le Brun (pour écouter un extrait, cliquer sur le mini-lecteur en bas de l'article à gauche). Christèle Gadet, Jean-Luc Emeraud, Jean-François Guitton, Anne-Marie Le Brun, Armelle Le Gal, Alexine Merveilleux et Bernard Gapihan apportent leurs textes. Luisa Tonini vient nous aider pour les moments "chorégraphiques", notamment pour le ballet des balais. Jamais les plateaux de théâtre n'auront été aussi propres après notre passage. Nous travaillons le fil, les filages, la lumière, les accessoires. Et voilà, la pièce naît sur le plateau, de "rien", juste de notre désir d'écrire, un an (ou même un peu plus) plus tôt. Tout disait qu'elle ne verrait pas le jour : nos rêves et notre détermination collective en ont décidé autrement. Affiche, préparation de la plaquette d'annonce du spectacle et c'est parti ! :</p>
<div class='spip_document_103 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L223xH191/laruemurfaimdusoircantonnierespf-9c5cf.jpg?1690859283' width='223' height='191' alt='' />
</figure>
</div><div class='spip_document_104 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L259xH191/larumeurfaimdusoir2-8ea22.jpg?1690859283' width='259' height='191' alt='' />
</figure>
</div>
<p><strong>FAIM DU SOIR … ESPOIR</strong><br class='autobr' />
(Fantaisie à déguster)<br class='autobr' /> « <strong>Faim du soir … espoir</strong> » est une salade composée, un patchwork chocolaté, un millefeuille acidulé, un collage cuisiné « maison ». Les ingrédients sont multiples, les plats variés et les sauces au choix. On y trouve de tout : un personnage affamé, un autre vraiment « bouffant », une consommatrice consommée, une aire de pique-nique pour le meilleur et pour le pire, des moustiques et des fruits à noyaux, du drôle, du sombre, du gai, du léger, du cocasse, de la dureté, de la tendresse … de l'envie … de l'espoir … Un personnage, Esperanza, traverse toutes ces situations cousues dans le fil de sa vie…en dix-huit petits gâteaux euh pardon …tableaux."</p>
<div class="spip_document_94 spip_document spip_documents spip_document_audio spip_documents_left spip_document_left spip_document_avec_legende spip_document_player spip_documents_player spip_doc_player" data-legende-len="116" data-legende-lenx="xx"
> <figure class="spip_doc_inner"> <div class="mejs-audio-wrapper audio-wrapper mejs-audio-wrapper-skin-dewplayer" style='width:300px;max-width:100%;margin:0 auto;'> <audio class="mejs mejs-94 mejs__dewplayer" data-id="00b25a7b14d213236d466b21ef590fd4" src="IMG/mp3/extrait_fringales_jean_sebastien_guitton_anne_marie_le_brun-2.mp3" type="" data-mejsoptions='{"alwaysShowControls": true,"loop":false,"audioWidth":"100%"}' data-mejsplugins='null' controls="controls" ></audio>
</div><span style="display: none;">
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}</style></span><figcaption class='spip_doc_legende'> <div class='spip_doc_titre '><strong>Extrait de "Fringales"
</strong></div> <div class='spip_doc_descriptif '>Texte d'Anne-Marie Le Brun<br class='autobr'/>
Composition musicale et interprétation : Jean-Sébastien Guitton
</div> </figcaption></figure>
</div>
<p><br/>
<br/>
<br/>
<br/></p>
<div class='spip_document_162 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L190xH141/gelee_arbre_1b-4bbcf.jpg?1690859283' width='190' height='141' alt='' />
</figure>
</div> <p>En 2006, quatre nouvelles personnes intègrent la troupe et nous partons sur le projet proposé par Jean-François Guitton : "La gelée d'arbre" de Hervé Blutsch. Pièce iconoclaste qui amusera et ... fera même parfois grincer quelques dents chez quelques spectateurs. Une pièce aux personnages acides, croquants et étonnants, tellement intéressants à jouer sous la direction de Jean-François, ... pièce aussi mystérieuse que son auteur. Elle sera jouée au festival de l'ADEC 56 à Josselin, à celui de l'ADEC-MTA à Chartres de Bretagne, à l'Asphodèle à Questembert.</p>
<div class='spip_document_164 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</figure>
</div> <p>Nous avons failli la jouer au "Festival d'Ozon le théâtre" de Séné ... mais la représentation a dû être interrompue au bout de cinq minutes, l'un des personnages (si encore ça n'avait été que le "personnage" !!!), un acteur plutôt (nous ne dirons pas qui) eut la bonne idée de se faire un beau claquage en 'live", plantant là le public, ses partenaires et les organisateurs pour plonger dans les coulisses et aller se balader en ambulance avec les pompiers.</p>
<div class='spip_document_161 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
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</figure>
</div>
<p>Et ce ne fut pas le seul contretemps dont cette pièce nous fit cadeau ! L'avalanche de reports et d'annulations pour raison d'indisponibilités d'acteurs était-elle liée au caractère iconoclaste de la pièce ? Mystère ! Voilà une des raisons pour laquelle nous avons joué cette pièce jusqu'en Octobre 2010. L'autre raison est que trois d'entre nous ont participé de 2005 à 2008 au parcours de formation "<i> <strong>de l'écriture à la scène</strong> </i> " proposé par l'<a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">ADEC 56</a>, formation très prenante qui a abouti à la réalisation de "L'Augmentation" de Georges Perec.</p></div>
1985-1992
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article19
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article192013-12-07T16:00:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>L'année 1985 est l'année d'une fusion, à moins que ce ne soit un mariage voire un concubinage (en tout cas, les voilà tous dans le même lit, c'est donc peut-être un mariage pour toutes et tous) entre le Théâtre de la Rumeur et l'atelier-théâtre du Groupe Gallo-Breton de Malestroit. Dans le même temps, des actrices de Ploërmel rejoignent le Théâtre de la Rumeur, qui perd aussi une partie de ses premiers acteurs roxédois après les Farces du Moyen-âge. Cette année-là, avec un groupe (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><div class='spip_document_38 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
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</figure>
</div> <p>L'année 1985 est l'année d'une fusion, à moins que ce ne soit un mariage voire un concubinage (en tout cas, les voilà tous dans le même lit, c'est donc peut-être un mariage pour toutes et tous) entre le Théâtre de la Rumeur et l'atelier-théâtre du Groupe Gallo-Breton de Malestroit. Dans le même temps, des actrices de Ploërmel rejoignent le Théâtre de la Rumeur, qui perd aussi une partie de ses premiers acteurs roxédois après les Farces du Moyen-âge. Cette année-là, avec un groupe totalement remodelé, la troupe, changeant d'heure, monte ... « L'horloge » d'Emmanuel Roblès, pièce qui évoque la lutte d'un cœur pur contre la corruption et l'abus de pouvoir, mise en scène par Jean-Luc Emeraud</p>
<div class='spip_document_46 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</div><div class='spip_document_47 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</div><div class='spip_document_48 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</div><div class='spip_document_49 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</figure>
</div>
<p> et aussi</p>
<div class='spip_document_36 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L206xH302/postichvalse1-7c51d.jpg?1690859284' width='206' height='302' alt='' />
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</div><div class='spip_document_37 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L212xH266/postichvalse2-40e49.jpg?1690859284' width='212' height='266' alt='' />
</figure>
</div>
<p>« Postich'valse », comédie en un acte de Flavie Solérieu qui fait défiler des personnages aussi pittoresques que différents les uns des autres, qui laisseront dans la mémoire des acteurs de la troupe des souvenirs aussi impérissables que stimulateurs de zygomatiques. Postich'valse est mise en scène par Bernard Gapihan.<br class='autobr' />
En 1986, d'autres flottements, non pas dans le mariage Groupe Gallo-Breton de Malestroit et Théâtre de la Rumeur, mariage qui, selon la rumeur, semble parti pour ...tenir, mais flottements dans la composition du groupe tout de même. Se jouent alors Édouard et Agrippine, ainsi que Le défunt, deux pièces de René d'Obaldia. Se jouent aussi quelques Diablogues croustillants de Roland Dubillard : ainsi par exemple Le plongeon.</p>
<div class='spip_document_60 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
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</figure>
</div>
<p>Nous irons même jouer dans une péniche bas de plafond mais flottante devant 5 spectateurs : souvenir humide mais merveilleux.<br class='autobr' />
1987, le mariage tient et attire de nouvelles recrues venant du Pays de Ploërmel, de Malestroit : la zone de recrutement spontané s'étend. Nous jouons alors « La damnation de Méfisto » de Pierre Gripari : dix tableaux différents, 21 personnages.</p>
<div class='spip_document_51 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
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</figure>
</div>
<p>La mise en scène est assurée par Jean-Luc Emeraud qui est revenu après une année sabbatique. Gros travail de lumière avec à la console Anne-Marie Kertesz, chargée également de la désaltération des acteurs, gros travail de costumes avec Marcelle et Louise Possémé, des arrangements musicaux d'Armel Mandart du Théâtre du Roi d'Argot, et de décors réalisés par Jean-Charles Caradec et Bernard Gapihan.</p>
<div class='spip_document_52 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH327/mephistosalut-a9e74.jpg?1690859284' width='500' height='327' alt='' />
</figure>
</div>
<p>La pièce est jouée de nombreuses fois, dont deux fois dans le cadre de Festivals, celui de Lizio (<a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">Adec 56</a>) et de celui de Questembert, entre 1988 et 1989.<br class='autobr' />
Après la petite période un peu flottante, flottante-mûrissante de l'année 1986, un grand retour, non non pas sur la péniche..., un grand retour de dynamisme ressaisit la troupe qui, mariage aidant, prend le nom de « Théâtre de la Rumeur » car il faut bien le dire, c'était difficilement aisé ou même, pourrait-on dire, facilement malaisé de garder le nom de :<br class='autobr' />
« ThéâtredelaRumeurAtelierThéâtreduGroupeGalloBretondeMalestroit ». Souvent dans les mariages, l'un prend le nom de l'autre, c'est c... mais c'est comme ça. Cependant, le groupe est toujours bien constitué des anciens de La Rumeur et du Groupe Gallo-Breton mais il est subitement autant que délicieusement renforcé par l'affluence de comédiens du Pays de Ploërmel qui ont entendu parler de la troupe et qui faisant des ateliers de théâtre à l'Adec 56 à Josselin veulent s'essayer au travail en troupe et à son corollaire : la représentation théâtrale, alias : la trouille des grands soirs. Régulièrement, les membres de la troupe participent, commencent et continueront à participer, suivant leurs motivations individuelles et/ou parfois en groupe, aux nombreux stages de formation proposés par l'<a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">Adec 56</a> : c'est ainsi que nous ferons des formations au jeu de l'acteur, au maquillage, au clown, à la mise en scène, à la direction d'acteur, à la lumière, à l'animation d'ateliers théâtre, à l'analyse de spectacle, à la scénographie, stages voix et autres parcours etc., avec à chaque fois de belles rencontres avec les professionnels choisis par l'Adec pour animer ces stages. Bref, nous nous formons régulièrement au cours de toutes ces années, au rythme de chacun et/ou du groupe.</p>
<div class='spip_document_55 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L472xH318/outrageauxbonnesmoeurs1-728fc.jpg?1690859284' width='472' height='318' alt='' />
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</div>
<p>En 1990, deux pièces seront montées avec deux metteurs en scène différents : Jean-Luc Émeraud assure la mise en scène d' « Outrage aux bonnes mœurs » d'Éric Westphal, pendant que Jean-François Guitton écrit et met en scène « La Belle au bois dormant ». C'est l'année du fameux « cyclo », un cyclorama de 8m00 sur 2m50, dont les bandes ont été collées à la main par nous s'il vous plaît et qui s'adapte sur la structure de base des rideaux, pouvant créer un fond variant en couleur ou en formes projetées. De beaux bleus qui donnent une autre profondeur au plateau que l'habituel noir. Nous apprenons peu à peu à caler nos éclairages dans l'espace, à utiliser des découpes, avec gobos découpés main, des horiziodes... Mais ce qui restera très certainement de ce cyclorama dans les esprits, c'est le pliage-roulage du cyclo, qui à lui seul, pouvait occuper une grande partie de la troupe (rouleurs-plieurs, spectateurs des rouleurs-plieurs voire même, comme souvent à la Rumeur, spectateurs-commentateurs et spectateurs-conseilleurs de rouleurs-plieurs. Il faut dire que c'était une sacrée aventure de plier-rouler le fameux cyclorama... pour qu'il subisse le moins possible l'Outrage du temps...</p>
<div class='spip_document_54 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L454xH353/outrageauxbonnesmoeurs2-29733.jpg?1690859284' width='454' height='353' alt='' />
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<p>Et avant de réussir à le plier rouler correctement, il fallait le rouler-plier-dérouler-déplier un certain nombre de fois ... et vu de l'extérieur, c'était assez ... hilarant. Et pendant quelques saisons, le choix des futures pièces débutera alors souvent par une question anxieuse d'un rouleur-plieur : « y-aura-t-il besoin du cyclo ? ... parce que sinon on pourrait peut-être choisir une autre pièce... ? ».</p></div>
1992-2000
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article20
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article202013-12-07T15:30:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>Justement, entre 1992 et 1994, la troupe cherche ce qu'elle a envie de jouer, tout en participant à de nombreux stages, à des tournois d'improvisation et en s'investissant beaucoup dans l'Association de l'Adec 56. Plusieurs textes sont mis sur l'établi théâtral : « Le Pic du bossu » de Sławomir Mrożek, « Le Révizor » de Nicolas Gogol ... ou encore « Les vacances » de Jean-Claude Grumberg ... Aucun de ces textes n'aboutira à un spectacle présenté en public. Crise de croissance. (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><p>Justement, entre 1992 et 1994, la troupe cherche ce qu'elle a envie de jouer, tout en participant à de nombreux stages, à des tournois d'improvisation et en s'investissant beaucoup dans l'Association de l'<a href="http://www.adec56.org" class="spip_out" rel="external">Adec 56</a>. Plusieurs textes sont mis sur l'établi théâtral : « Le Pic du bossu » de Sławomir Mrożek, « Le Révizor » de Nicolas Gogol ... ou encore « Les vacances » de Jean-Claude Grumberg ... Aucun de ces textes n'aboutira à un spectacle présenté en public. Crise de croissance. Questionnements sur le répertoire. Questionnements sur ce que nous voulons et sur ce que nous pouvons travailler... Petite traversée aride. On opte pour de petites formes, ressentant la nécessité de rencontrer le public après ces deux années de travail sans représentation, et de le rencontrer vite sans se lancer dans un long travail sur une longue pièce, qui peut-être, encore n'aboutirait pas ?... Petit parfum d'angoisse : sommes-nous encore capables de jouer ? ...</p>
<div class='spip_document_56 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L473xH454/lespetitspotins1-cf356.jpg?1690859284' width='473' height='454' alt='' />
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<p>... La Rumeur revient avec « Aux p'tits potins », extraits d'Harold Pinter, mis en scène par Jean-Luc Emeraud, joués en version Cabaret... Nous sortons alors, avec Harold, de notre petite période d'aridité, pourrait-on dire, aride...<br class='autobr' />
1995, 1996 : Jean-François Guitton se lance dans sa deuxième mise en scène, après « La Belle au Bois dormant » en allant chatouiller, de son plein gré, Molière et son fameux « Médecin malgré lui ».</p>
<div class='spip_document_58 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH182/medecinmalgrelui1-77e7b.jpg?1690859284' width='500' height='182' alt='' />
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</div>
<p>Avec Molière, le Théâtre de la Rumeur joue un peu partout, dedans, dehors, dans de grandes salles, dans de petites salles, sur le parvis d'une église, devant des lycéens, au Festival de Lizio (le dimanche matin du festival, le « Médecin malgré lui » est programmé « off » : salle comble, superbe souvenir, public hyper-chaleureux et réactif ... une représentation qui, le temps aidant, passant, se couvre de poussière magique... il y a des représentations comme ça, où on se demande encore ce qui s'est passé ... est-ce parce que c'était « off » ?, imprévu ? en sus ? ...). Voilà une pièce dont la bonne humeur nous a contaminés ... il faut dire que le metteur en scène aimait à nous rappeler avant chaque représentation, riant d'avance de ce qu'il allait nous dire, c'est-à-dire contaminé lui-même : « soyez vifs, joyeux et malicieux ! ».</p>
<div class='spip_document_57 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L271xH227/lemedecinmalgrelui2-07d3c.jpg?1690859284' width='271' height='227' alt='' />
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</div>
<p>À la Rumeur, nous écoutons toujours et appliquons toujours ce que nous dit le metteur en scène et nous avons été, sans nous forcer, vifs, joyeux et malicieux autant que nous le pouvions... En tout cas, le clystère de Molière nous débarrassa de nos restes d'angoisse résiduelle de la période aride précédente et lorsque Jean-François nous propose de monter l'« Antigone » de Jean Anouilh, nous lui emboîtons le pas, vifs, joyeux et malicieux,... toujours.<br class='autobr' />
1997, 1998 : Nous travaillons le texte de Anouilh et les personnages d'Antigone tout d'abord avec l'aide d'Alain Kowalczyk, sous forme de stages puis Jean-François Guitton se charge de la mise en scène. Le cyclo réapparaît, de quoi alimenter le bagou de certaines (es) commentateurs(trices) des rouleurs-plieurs de cyclo.</p></div>
1972-1977
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article17
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article172013-12-07T14:30:00Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>Au Roc-Saint-André, en Mars 1973, sous l'impulsion de Jean-Luc Emeraud, le théâtre, tel le phœnix, renaît de ses cendres. Descendant de l'ancien « Théâtre de Patronage », le théâtre roxédois, cette année-là, s'émancipe de son cadre paroissial d'origine. La troupe n'est désormais plus chapeautée par un curé ni scindée en deux parties distribuant d'un côté les garçons et de l'autre les filles. Désormais, la troupe sera mixte : quelle révolution ! ... et son nouveau cadre sera celui d'une (...)</p>
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<a href="http://theatredelarumeur.fr/spip.php?rubrique4" rel="directory">Historique</a>
<div class='rss_texte'><p>Au Roc-Saint-André, en Mars 1973, sous l'impulsion de Jean-Luc Emeraud, le théâtre, tel le phœnix, renaît de ses cendres. Descendant de l'ancien « Théâtre de Patronage », le théâtre roxédois, cette année-là, s'émancipe de son cadre paroissial d'origine. La troupe n'est désormais plus chapeautée par un curé ni scindée en deux parties distribuant d'un côté les garçons et de l'autre les filles. Désormais, la troupe sera mixte : quelle révolution ! ... et son nouveau cadre sera celui d'une association socioculturelle avec l'agrément « éducation populaire - Jeunesse et Sports ».<br class='autobr' />
Toute émancipation est un travail de chaque jour, long et plaisant autant qu'ardu : les premières années, les représentations continuent d'avoir lieu le soir même de Noël, avant la messe de minuit. Dès la deuxième année, le choix de jouer « Édouard et Agrippine », suivie de « Le défunt », de René d' Obaldia, fait grincer alors quelques chaises et mâchoires. À cette époque, il faut dire que toutes les actrices et tous les acteurs composant la troupe sont originaires du Roc-Saint-André ou conjoint(e)s d'actrices ou d'acteurs originaires du Roc : il y a seulement quelques rares membres étrangers, habitant de l'autre côté de l'Oust, à quelques centaines de mètres, loin du côté de La Chapelle-Caro. Ce confinement local confronte très vite la troupe aux épineuses questions diplomatiques naissant entre l'attente supposée du public et le choix de la pièce dans tous les possibles du répertoire théâtral classique et contemporain.<br class='autobr' />
La troupe monte alors une pièce par an avec aboutissement à la veillée de Noël, sur la scène de l'ancienne école des garçons, rue du val chevrier, scène close par un rideau en toile peinte représentant ... le Roc-Saint-André, son église et son magnifique pont !</p>
<div class='spip_document_61 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L211xH310/histn_b-c4b52.jpg?1690859284' width='211' height='310' alt='' />
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</div> <p>Devant le rideau, l'avant-scène fait moins de quarante centimètres de profondeur. La salle est à chaque fois bondée. Bondée aussi, le lendemain, en après-midi. Le jeu se fait dans des décors de toile peinte montée sur châssis de bois emboîtables les uns dans les autres, par un système de gonds, pour former un « intérieur » : ces décors ont deux faces peintes. D'une année sur l'autre, on peut changer la « déco d'intérieur » en changeant le décor de côté. Grâce aux sacro-saints entr'actes, il arrive même que le changement « d'intérieur » se fasse d'un acte à l'autre. Y sont apposés aussi quelques tableaux ou meubles venant signifier le changement de décor et de pièce. Tous les ans, un des acteurs (conjoint d'une actrice roxédoise) va chercher ces décors dans sa commune d'origine qui les prête à la troupe pour la période de Noël. Au bout de quelques années, il arrive que la troupe se déplace dans une autre ancienne salle de patronage comme celle de Ruffiac par exemple, qui conservait alors toutes les qualités et les équipements d'une vraie salle de théâtre, ou celle de Lizio. Ces déplacements représentent un sacré travail (comme on dit souvent, le théâtre, c'est d'abord de la manutention)... et un zeste d'aventure dans l'itinérance et la rencontre d'un public qui ne connaît pas les acteurs et voit donc la pièce d'un « autre » œil. La troupe passe donc le « Pont » !</p>
<div class='spip_document_62 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH298/jeveuxvoirmioussov2-0b95d.jpg?1690859284' width='500' height='298' alt='' />
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</div>
<p>C'est ainsi que se jouent « Les jours heureux » de Puget, « La barque sans pêcheur » de Casona, « Je veux voir Mioussov » de Kataïev, « Cet homme sort de prison » de Dumaine et Dubois et « La cuisine des anges » de Husson. Au début l'éclairage est assuré par une rampe posée sur le nez de scène et des spots au plafond de la scène. Au bout de quelques années, arrivent les premiers Plans convexes 500 watts achetés d'occasion. Puis une connaissance de la troupe, calée en électronique, réalise le premier jeu d'orgue de la troupe avec trois circuits supportant chacun 1000 Watts : une révolution ! La lumière devient graduable, même si le plein feu ne consiste qu'en 3 PC 500 watts en Face. Quelqu'un est désormais chargé des curseurs dans le fond de la salle et des rallonges commencent à courir le long des murs jusqu'au jeu d'orgues flambant neuf et peint en rouge. Plus besoin d'envoyer la sauce à partir de l'interrupteur général de la scène. Le metteur en scène de l'époque, Jean-Luc Emeraud, devient aussi le Président de l'Adec 56 en 1977. L'Adec est alors une association en demi-sommeil ou en sommeil profond ... peut-être même en sommeil paradoxal ! Mais alors, l'éveil surgit, une dynamique créatrice naît entre les 4 Adec bretonnes fédérées dans une union régionale... des rencontres se font, des stages s'organisent ... et peu à peu, la troupe va baigner dans ce mouvement large et bénéficier de ce réveil théâtral joyeusement contagieux. Advient alors le désir d'un changement dans le répertoire joué, ce qui engage aussi un changement dans l'approche du décor : la troupe s'équipe d'une structure démontable et de rideaux noirs ignifugés. La structure métallique conçue et réalisée par Jean Emeraud, comédien de la troupe, est adaptable aux lieux de représentation : réglable en hauteur, en largeur. Il réalise même un rideau à polichinelle, sur une grande portée, et qui peut séparer la scène en deux en profondeur. Les rideaux sont coupés, cousus, ourlés par une partie des comédiennes. La troupe commence à « vouzonner ». La ruche a senti le printemps, ça sent le miel.</p>
<div class='spip_document_10 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L189xH189/sefootentdenous-71c5c.jpg?1690859284' width='189' height='189' alt='' />
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</div><div class='spip_document_9 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L305xH316/lesdeuxvierges-82146.jpg?1690859284' width='305' height='316' alt='' />
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</div>
<p>L'année 1977 voit naître la première création de Jean-Luc Emeraud avec « Ils se footent de nous », satire des dérives, déjà, du petit monde du football : la troupe jouera pour la première fois dans un festival de théâtre amateur, celui d'Hénansal (22) et puis, la pièce fera la page de couverture du journal « Le contre-pied », numéro 14, Mai-Juin 1980. Toujours en 77, l'autre partie de la troupe, qui n'a pas joué dans « ils se footent de nous » monte « Les deux vierges », une pièce de Bricaire et Lasaygues : pourtant assez conventionnelle vue de maintenant, la pièce inaugurera les premières déglutitions difficiles chez le curé de la paroisse et ce sera le début de la fin des dernières attaches originelles avec le théâtre de patronage. Le cordon est coupé. D'autant que le décor de base consiste désormais en un matériel pliable et escamotable : l'itinérance potentielle est bien là !</p></div>
1978-1985
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article18
http://theatredelarumeur.fr/spip.php?article182013-11-10T16:07:01Ztext/htmlfrBernard Gapihan
<p>Deux années, 78, 79 passent et ce sont des années studieuses autant qu'hilarantes : la troupe s'attaque à l'écriture collective d'une pièce en gallo « La Rumeur », qui donnera son nom au Théâtre du Roc. Premiers recrutements de la troupe hors des communes du Roc Saint André et de La Chapelle-Caro. La première partie de la pièce est écrite sur la trame d'une pièce irlandaise : mais si la trame demeure, la traduction sera gallèse et ce n'est pas peu dire, sachant qu'une seule expression (...)</p>
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<div class='rss_texte'><div class='spip_document_27 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L500xH475/larumeur1-8931b.jpg?1690859285' width='500' height='475' alt='' />
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</div>
<p>Deux années, 78, 79 passent et ce sont des années studieuses autant qu'hilarantes : la troupe s'attaque à l'écriture collective d'une pièce en gallo « La Rumeur », qui donnera son nom au Théâtre du Roc. Premiers recrutements de la troupe hors des communes du Roc Saint André et de La Chapelle-Caro. La première partie de la pièce est écrite sur la trame d'une pièce irlandaise : mais si la trame demeure, la traduction sera gallèse et ce n'est pas peu dire, sachant qu'une seule expression pouvait déclencher à la fois une avalanche de souvenirs, des averses torrentielles de digressions et des crises de rire incommensurables autant qu'inextinguibles ... bref, cela prit du temps !... et pour apprendre le texte, cela prit du temps ...aussi !!</p>
<div class='spip_document_28 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L213xH302/larumeur4-a8a60.jpg?1690859285' width='213' height='302' alt='' />
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</div>
<p>Comment ne pas se souvenir d'Antoine qui échappait sur le plateau de nombreux « comment heu .... » quand il avait perdu le texte qu'il nous jurait pourtant d'avoir appris par cœur plutôt trois fois qu'une. Dès que nous entendions « comment heu ... » sur scène, nous nous disions tous « hop hop hop, comment on va y arriver ! ».</p>
<div class='spip_document_29 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L227xH203/larumeur2-3ef5d.jpg?1690859285' width='227' height='203' alt='' />
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</div>
<p>Et puis là, on allait jouer en plein air, on se déplaçait beaucoup, le pays gallo, c'est grand ! Les rideaux n'avaient pas le temps de moisir ! La Madeleine à Malestroit, le château de Comper etc., travail de lumière, de costumes, de décors et un public très nombreux... qui n'aura aucun mal ensuite à faire courir le bruit que le Théâtre du Roc, c'était le Théâtre de la Rumeur... et nous voilà baptisés et ancrés « Gallo qui court ».</p>
<div class='spip_document_30 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L169xH227/larumeur3-9a5f8.jpg?1690859285' width='169' height='227' alt='' />
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</div>
<p>Habitués à jouer dehors, il y eut quelques accidents lorsque les séances revenaient à l'intérieur : pensons notamment au gendarme joué par Paul, qui entrant vaillamment sur le plateau, marche d'un pas décidé et se retrouve bloqué net, la tête et le képi écrasés par la gaine de chauffage qui, c'est vrai, habituellement, dehors, n'était pas là. Bref, nous en avons tiré, parfois dans la douleur, souvent dans le rire, une capacité d'adaptation aux lieux assez forte et guillerette.</p>
<div class='spip_document_31 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L231xH156/larumeur5-3960b.jpg?1690859285' width='231' height='156' alt='' />
</figure>
</div>
<p>1981, La rumeur s'estompe, La Rumeur enfle et Jean-Luc Emeraud monte « Les cochons d'Inde » d'Yves Jamiaque, une pièce évoquant les tribulations d'une famille ouvrière expulsée de son logement et jetée à la rue : 17 acteurs, dont deux enfants et 19 changements de décor quasi instantanés : nous utilisons à plein la structure métallique élaborée par Jean Emeraud, les compétences de notre électricien Jean Thomas et celles de Bernard Gapihan pour peindre sur des bouts de carton. Nous passerons tout de même d'un intérieur pauvre, à la rue, puis à un kiosque à musique, un commissariat, une Mairie, en passant par une Église etc. Le travail devient plus intense, l'exigence plus forte, tant au niveau de la mise en scène, des lumières, des décors que du jeu des acteurs.</p>
<div class='spip_document_35 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_right spip_document_right'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L226xH302/lescochonsdinde3-38e0d.jpg?1690859285' width='226' height='302' alt='' />
</figure>
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<p>1982 : Le Théâtre du Roi d'Argot, Le Théâtre de la Rumeur, l'ADEC 35, l'ADEC 56 prennent les ailes des anges et s'en vont pour ... Québec pour un voyage d'échange théâtral aidé par l'Office Franco-Québécois pour la Jeunesse, à l'initiative d'Armel Mandart, metteur en scène au Théâtre du Roi d'Argot. S'en reviendront avec le plein de souvenirs inracontables et pourtant racontés et re-racontés et en tout cas des souvenirs pas magasinables : ils inviteront les mois suivants des comédiens québécois qui inaugureront le premier match d'improvisation du Festival de l'ADEC 56 à Lizio en Mai 1983. <br class='autobr' />
1983, donc : avec « Ne coupez pas mes arbres », une pièce de William Douglas Home, adaptation de Marc-Gilbert Sauvageon qui raconte l'arrivée d'une bretelle d'autoroute dans la propriété d'authentiques antiquités anglaises : Lady and Sir Belmont. Bref, la pièce évoque le conflit entre le ‘moderne' et l'‘ancien' : nous la jouons à ce même Festival de théâtre amateur de Lizio, organisé par l'ADEC 56. <br class='autobr' />
Les disponibilités varient, les motivations se différencient et après ces années d'investissement énorme, une petite reprise de souffle en 1984 nous plonge dans l'univers des farces du Moyen-âge et dans du travail en petits groupes.</p>
<div class='spip_document_34 spip_document spip_documents spip_document_image spip_documents_left spip_document_left'>
<figure class="spip_doc_inner"> <img src='http://theatredelarumeur.fr/local/cache-vignettes/L416xH266/farcesmoyenage2-39dd5.jpg?1690859285' width='416' height='266' alt='' />
</figure>
</div>
<p>Pièces courtes et haletantes, jouées dans la rue. Pour la première fois, la troupe offre un stage à ses acteurs dans le cadre des Farces du Moyen-âge, avec Michel Jahiat. C'est aussi l'occasion d'une collaboration avec trois enseignants d'Éveil à la musique au pays, qui accompagnent notre jeu dans les parties chantées des farces. Participation également de la troupe aux tournois d'improvisations organisés par l'ADEC 56 dans le cadre du festival désormais annuel de Lizio.</p></div>